Avec Bessie Smith et Duke Ellington, Louis Armstrong a été un des
premiers jazzmen à séduire les producteurs hollywoodiens, dès le début
des années 30. Son faciès, son aura, son
humour
étaient autant d’arguments aussi importants que la musique magistrale
qu’il offrait au public. De Rhapsody in Black and Blue (1932) à Hello
Dolly (1969) en passant par les incontournables Five Pennies, Paris
Blues, High Society ; New Orleans ou A song is born, un florilège de
scènes mythiques et jubilatoires à revoir sur grand écran !
6€
Accès et transports :
Les cyclistes peuvent laisser leur vélo sans se préoccuper, dans
l'enceinte de la Jazz Station. Les bus 29 et 351 s'arrêtent à deux pas, à
l'arrêt Clovis. Les bus 60 et 63 s'arrêtent à Ambiorix, cinq pas. Le 61
s'arrête à Steurs, trois pas ! Les automobilistes doivent chercher pour
se garer, mais ce n'est pas difficile. Le parking le plus proche est à
Madou, de là 15 min à pied