Le voyage dans la musique de Schubert se dévoile par couches et on ne semble jamais atteindre la profondeur ultime. Il est aussi le reflet de nos traversées de « lieux » inconnus allant de la jeunesse à l’âge adulte. La beauté de la musique et du texte subliment le désespoir, tout comme les matériaux d’Elizabeth, évocations des défis du quotidien, surgissent comme une sorte d’épiphanie.