Un jour, je reçois des mains de ma mère un Cahier d’école soigneusement rédigé. Elle y a retranscrit tout ce que son père, Hagop, a traversé. Un petit homme que j’ai connu, grand-père fantomatique, réfugié Arménien fuyant dans les années 20, l’empire Ottoman et les violences du génocide de 1915-16.