A propos
Après la dictature sanglante en Argentine, le mouvement des droits de l'homme s'est engagé dans la politique de la Mémoire, de la Vérité et de la Justice : construire la mémoire, chercher la vérité et exiger la justice. Le résultat a été que, pour la première fois, un tribunal civil a jugé la dictature de son propre pays. Est-il possible d'appliquer ces expériences à d'autres contextes ? Quelles itérations systématiques rendent les génocides possibles ? Peut-on établir des liens entre ces phénomènes ? Quel rôle la pratique artistique peut-elle jouer dans la construction d'un tel discours ?