Distropie, selon ses propres termes, est de la diffusion futile de revues, brochures, livres, vinyles, lance-pierres, du bon vieux punk qui fait mal aux orteils et de la mauvaise humeur comme il se doit. Un trafic sous le manteau qui circule dans la pénombre et le désordre de lieux malfamés de la société du spectacle, dont le Nova. Ce n’est pas la première fois que notre Microboutiek accueille cette distro collective amie, appelée jadis La Lapinothèque. Tout récemment, Distropie s’est aussi muée en microlabel le temps de sortir avec d’autres microstructures, Merdézuth, un 78T d’un trio dilettante évaporé depuis que l’un de ses fondateurs, David, distropien de la première heure, est parti quand et comme il le voulait en juillet 2024. Cette soirée lui est dédiée.
