A propos
Après plusieurs années sur les routes à jouer sur de nombreuses scènes et dans de nombreux pays, Tamala présente son troisième album ‘Diboli’. Le quartet explore ici des thèmes aussi universels que l’amour, la connexion à la nature ou la quête identitaire. Ça y est, c’est l’heure de Lumba, « le grand jour » en mandingue. Le groupe prend de la hauteur sur le monde dans ce nouvel opus, et ose rêver à un nouveau départ, en dénonçant les frasques de l’humanité pour mieux mettre en valeur nos côtés lumineux.
Musicalement, Tamala montre ici son côté le plus polyvalent. Il y a bien sûr la voix puissante de Mola Sylla. Non seulement il vous fait haleter jusqu’à la toute dernière note, mais il vous surprend également avec un éventail étonnant d’instruments fabriqués lui-même. Le virtuose de la kora Bao Sissoko se distingue non seulement en tant que soliste doué et sensible au groove, mais aussi en tant que compositeur. Au violon, le très polyvalent Wouter Vandenabeele ajoute une touche européenne contemporaine, faisant de Tamala plus que la somme de ses parties. Un quatrième musicien, Olivier Vander Bauwede, vient de rejoindre le projet et ajoute des sonorités blues à la musique de Tamala avec l’aide de son harmonica.