A propos
« Le consentement c’est sexy » est une maxime qui fait généralement consensus. Au-delà de la quête de plaisir, qu’en est-il des actes d’intimité auxquels on peut consentir qui sont motivés par l’appât du gain ou la curiosité ? Issu de l’underground de la performance queer à Montréal et écrit sur un cahier mouillé dans un sauna, ce spectacle nait de la collision entre la rigueur et l’humilité, entre le plaisir et l’inconfort. Michael Martini puise dans des histoires perverses et des motifs de contes pour construire une performance hybride qui se déploie autour d’un simple objet : son propre four.