A propos
Ludovico Einaudi annonce aujourd’hui son retour en Belgique. Le 18 novembre, Ludovico fera escale à Bozar, à Bruxelles. L’été dernier, le pianiste minimaliste italien avait donné deux concerts sold-out au Gent Jazz. Les billets s’étaient vendus comme des petits pains. Pour ne pas manquer ce moment unique cette fois, un seul mot d'ordre : hâtez-vous d'acheter vos billets!
De formation classique, Ludovico Einaudi s’est fait connaître d’un large public grâce à ses bandes originales de films et de séries télévisées tels que « Intouchables », « I’m Still Here », « Docteur Jivago », « Acquario » et, plus récemment, « La Tresse » et « A Cielo Abierto ». Ludovico a ouvert grand les portes du succès avec ses albums « Una Mattina » et « Divenire ». Ceux-ci se sont hissés en tête des classements de musique classique et des classements généraux. Ce n’est pas que la carrière de Ludovico était atone auparavant, mais à partir de ce moment-là, il a connu une ascension fulgurante dont la pop star moyenne ne peut que rêver. Les critiques encensent ses œuvres pianistiques oniriques et ses paysages sonores orchestrés avec art. Ils clament haut et fort qu’il s’inscrit dans la longue tradition de grands maîtres tels que Chopin, Satie, Glass et Reich. Il sort régulièrement des albums en solo, interprétant ses compositions intrigantes avec des formations toujours différentes. L’efficacité de son approche minimaliste est remarquable : au fil de quelques notes, de quelques thèmes qui se chevauchent, le Transalpin entraîne chaque auditeur dans son univers, avec de multiples références à la nature. Ludovico s’exprime non seulement en long et en large sur les effets du changement climatique, mais il se retire aussi régulièrement dans la nature, dans divers endroits du monde, pour y puiser l’inspiration créatrice.
Ses principaux faits d’armes sont « I Giorni » (2001), « Nightbook » (2009), « In A Time Lapse » (2013), « Taranta Project » (2015), « Elements » (2015), « Seven Days Walking » (2019) et « Underwater » (2022). Il a joué ce dernier à guichets fermés en Amérique, en Asie centrale et en Europe. En Belgique, il a ensuite fait salle comble au Bozar (Bruxelles), au Capitole (Gand) et à la Salle Reine Elisabeth (Anvers), les billets s’étant vendus en un rien de temps.