« En Kirundi, langue parlée au Burundi, Icirori signifie : regarder sa souffrance intérieure pour pouvoir vivre avec. À travers ma quête identitaire, je nous invite à la réflexion. À écouter notre histoire autrement. À déplacer nos regards. À rendre sujet nous, les invisibilisé·es. Je suis une adulte adoptée. Aujourd’hui, je décide de retourner au Burundi. Pour rencontrer les corps, les odeurs, les lumières, les traumatismes de ma mémoire. Pour me réparer. » Partant de la nécessité de creuser son histoire personnelle d’enfant adoptée illégalement, Consolate nous emmène au cœur de son monde intime à l’aide de sons, d’odeurs, d’images.
De et avec Consolate
Pour en savoir plus, écoutez Consolate parler du projet par ici dans un échange avec le journaliste Antoine Kaburahe, et ici dans un entretien mené à La Bellone, à Bruxelles.
Ces deux enregistrements ont été réalisés dans le cadre d’une résidence de Consolate à La Bellone.